Jean-Paul Sartre

Philosophe français et principal porte-parole de cette motion existentialiste dans l’article France de la guerre. La fonction la plus essentielle de Sartre, Getting and Nothingness, a une dette personnelle fantastique envers beaucoup de ceux qui ont été éliminés avant lui, principalement Kierkegaard et Heidegger. Cependant, la philosophie de Sartre possède une clarté et une force qui ont pris l’esprit de ses instances de manière beaucoup plus efficace que ses prédécesseurs ou ses contemporains existentialistes, notamment Camus, Merleau-Ponty et de Beauvoir. Le thème clé de toutes les philosophies existentialistes est l’état que «l’existence précède l’essence». A partir de là, Sartre prévoit de transmettre l’idée que l’homme existe d’abord sans but ni sens, se trouve sur terre et ensuite seulement, étant une réponse à la rencontre, définit le concept de son style de vie. C’est le revers d’un débat fourni par Aristote dans l’Intégrité, ce type est produit pour satisfaire un objectif ou un objectif, dont la réalisation de l’existence se compose en essayant d’atteindre ce but. En revanche, Sartre soutient qu’étant donné qu’il n’y a pas de Seigneur ou de signataire pour offrir un but à la personne, cela dépend de la personne de sélectionner l’existence qui croit le mieux. Cependant, le débat discret de Sartre ne dépendra pas de son athéisme pour montrer la prémisse existentielle. Car une croyance au Seigneur est, selon Sartre, une sélection individuelle – c’est vraiment un style de vie et un objectif choisis. La croyance à l’intérieur d’une divinité ne peut jamais être forcée après un individu. Même si l’on a dû avoir les visions miraculeuses d’Abraham, c’est en fait toujours au patient d’interpréter ces visions: le discours des hallucinations divines ou lunatiques? Seul l’individu, et non le seigneur, pouvait faire cette présentation. En effet, c’est un principe plus large de la philosophie de Sartre que la personne n’est jamais motivée; il est confronté à une décision à chaque transformation. Même si un gars est emprisonné ou même une arme à la tête, soutient Sartre, c’est son choix de se conformer ou de défier – les résultats tendent à ne pas exempter un seul de produire cette sélection. Cette extrême flexibilité, reconnaît Sartre, a des effets lourds. Nous sommes responsables de tout ce que nous faisons. Un particulier ne peut pas, dans l’existentialisme sartrien, faire des raisons ou reporter l’obligation à une nature divine ou à une mère individuelle: cela reviendrait à se tromper soi-même ou à la «mauvaise foi». Cela conduit à quelques fardeaux connexes autour de l’individu. Pour commencer, l’angoisse, qui découle de la conscience du poids de l’obligation que nous détenons tous et chacun. Chaque petite chose que nous faisons a un impact non seulement sur vous-même, mais par nos options et mesures, nous avons établi de bons exemples pour le reste de l’humanité. Lorsque nous faisons un choix, ce n’est pas simplement un désir individuel, mais une déclaration au monde selon laquelle c’est la façon dont la vie doit être guidée. Le deuxième stress est «l’abandon». L’existentialiste découvre «extrêmement embarrassant» que Dieu n’existe pas vraiment. Pour ces pratiques, nous sommes donc maintenus seuls sans soutien ni assistance en matière d’éthique. En fait, nous devons veiller à ce qu’il progresse au fur et à mesure. Troisièmement, il y a certainement du «désespoir». De cela Sartre signifie que nous devons agir sans le vouloir, renoncer à l’instinct de croire que les enjeux sortiront pour aller au mieux. Il n’y a pas de providence. Les effets de l’existentialisme de Sartre sont clairement pesants mais inévitables. Nous avons été « condamnés à se libérer ». Mais cela ne donnera pas lieu à toutes sortes de pessimisme, car ses détracteurs ont généralement accusé sa philosophie d’engendrer. L’existentialisme montre «une sévérité d’optimisme», nous dit Sartre. Son concept optimiste est que «le destin de l’homme est mis en lui-même».